Le Club – Calendrier

L’histoire des dogues

Chronologie résumée

1911 : 20/09/1911, fondation de CAROLOREGIAN LODELINSART CLUB OLYMPIQUE

1912 : CAROLOREGIAN LODELINSART CLUB OLYMPIQUE change son appellation et opte pour le nom de OLYMPIC CLUB de CHARLEROI.

1913 : affiliation temporaire de OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI, auprès de l’UBSFA (future URBSFA)

1914 : 01/02/1914, affiliation officielle de OLYMPIC CLUB de CHARLEROI comme « membre adhérent » auprès de l’UBSFA (future URBSFA).

1914 : OLYMPIC CLUB CHARLEROI se désaffilie de l’UBSFA (future URBSFA) « pour n’avoir pas reçu les médailles promises par la Fédération pour leur victoire dans le Championnat 1913-1914 des Clubs Adhérents ».

1919 : Ne jouant que des matches de charité pendant le conflit (toutes les compétitions officielles sont annulées), l’OLYMPIC CLUB CHARLEROI se désaffilie de l’UBSFA (future URBSFA) et rejoint la FEDERATION WALLONNE DES SPORTS ATHLETIQUES, nouvellement créée.

1921 : 05/06/1921, lorsque la Fédération Wallonne des Sports Athlétiques est dissoute, l’OLYMPIC CLUB de CHARLEROI se réaffilie à l’URBSFA, comme « CLUB DEBUTANT » sous la dénomination de OLYMPIC CAROLINGIEN (sic) DE LODELINSART.

1922 : 13/06/1922, OLYMPIC CAROLINGIEN DE LODELINSART change son appellation et devient OLYMPIC CLUB CHARLEROI.

1926 : mai 1926, OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI accède aux séries nationales (Promotion, soit la D3 de l’époque). Le club n’a jamais plus quitté la nationale depuis lors.

1926 : décembre 1926, OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI se voit attribuer le matricule 246.

1936 : mai 1936, après 10 saisons en « Promotion », OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI (246) accède pour la première fois à la « Division 1 » (deuxième division belge de l’époque).

1937 : mai 1937, OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI (246) accède pour la première fois à la « Division d’Honneur » (plus haute division belge de l’époque). Il y évolue jusqu’en 1955.

1937 : 12/06/1937, OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI (246) est reconnu « Société Royale ». Le club prend le nom de ROYAL OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI (246) le 20/08/1937.

1972 : ROYAL OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI (246) change son appellation et devient ROYAL OLYMPIC CLUB DE MONTIGNIES-SUR-SAMBRE (246).

1982 : ROYAL OLYMPIC CLUB DE MONTIGNIES-SUR-SAMBRE (246) change son appellation et devient ROYAL OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI (246).

2000 : 01/07/2000, ROYAL OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI (246) fusionne avec ROYALE ASSOCIATION MARCHIENNOISE DES SPORTS (278) pour former le ROYAL OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI-MARCHIENNE (246).

2011 : 20/09/2011, ROYAL OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI-MARCHIENNE (246) fête ses 100 ans d’existence. Un jubilé qui ne donne pas lieu à beaucoup de fastes car l’avenir du club est très incertain compte tenu de sa situation financière. Neuf jours pus tard, le 29/09/2011, l’URBSFA décrète une « interdiction d’activités sportives » pour non-respect des délais de paiement d’arriérés de salaires à des joueurs et/ou anciens joueurs. Le 10 octobre 2011, le Tribunal de Commerce de Charleroi déclare la faillite de la « SCRL » gérant le club.

2012 : 26/06/2012, le ROYAL OLYMPIC CLUB DE CHARLEROI-MARCHIENNE (246) évite la radiation. Un projet de reprise déposé in-extremis permet la levée de l’interdiction d’activités et évite la radiation du matricule historique ‘246’.

Le Club

Le club a été créé en 1911 à l’initiative de Jules Ponsaerts, alors âgé de 17 ans. Des archives citent le 20/09/1911 comme date de fondation dans un établissement appelé le « Café de la Plaine ». L’année officielle de fondation est toutefois « 1912 », en fait le temps nécessaire à ce que le groupe initial se structure et que les documents requis à la création soient remplis et rentrés en bonne et due forme juridique. La première affiliation de l’Olympic Club Charleroi à l’URBSFA est entérinée en juin 1913.

L’Olympic est l’autre « grand » club de la ville de Charleroi et l’ancestral rival du Sporting. Si les Zèbres du Sporting marquent les deux dernières décennies, les « Dogues » de l’Olympic sont les premiers à se mettre en évidence. Sous la conduite d’un président visionnaire, le Docteur Gaston Gianola, le ROCC gravit les échelons et fait forte impression. Ils accèdent à la Division d’Honneur (la plus haute série de l’époque) en 1937 après une seule saison en Division 1 (la D2 à ce moment).

De 1937 à 1955, l’Olympic passe 15 saisons consécutives dans la plus haute division belge (qui prend le nom de Division 1 en 1952). Les Zèbres du Sporting, lors de leurs trois premiers séjours dans la plus haute division n’égaleront pas cette performance. Ils devront attendre la période « 1985-2011 » et aligneront 26 saisons. De 1937 à 1955, l’Olympic réalisent quelques très jolies saisons dont celle de 1946-1947 où il termine vice-champion de Belgique derrière un certain R. SC Anderlechtois qui enlève le premier de ses titres nationaux.

Relégués en 1955, les Dogues remontent directement et évoluent encore parmi l’élite jusqu’en 1963. Après cette relégation, la période dorée est terminée. Le club reste toutefois en Division 2 jusqu’en 1981, avec deux aller/retour vers l’élite en 1967 et en 1974.

Les choses commencent à se gâter à la fin des années 1970. En 1972, le club passe sous la présidence de Jacques Lamotte. L’homme a sa propre vision des choses. Il prend des accords avec le Bourgmestre de Montignies-sur-Sambre (la fusion des Communes n’intervient que l’année suivante) et rebaptise le club Olympic de Montignies (ou OM). Les couleurs officielles deviennent celle de la commune, à savoir « Rouge et Blanc ». Sous la direction du Président Lamotte, le club ne connaît qu’une période faste: celle de l’éphémère remontée en D1 en 1974. Ensuite, la gestion catastrophique de l’équipe en place plonge le club dans de graves soucis financiers.

Le vieux club est sauvé une première fois grâce à un « concordat judiciaire » rondement mené par les curateurs de l’époque. Mais la chute sportive est inéluctable. Renvoyé en Division 3 en 1981, soit après 45 ans de présence dans les deux plus hautes divisions. La direction qui s’est mise en place après l’épisode « Lamotte » commet aussi des erreurs. Les luttes intestines qui agitent le club n’arrangent rien. Les finances sont toujours gravement dans le rouge, l’Olympic est finalement déclaré en faillite. Une fusion avec le Sporting voisin est sérieusement envisagée. Finalement après maintes tractations, réunions chahutées et malgré certains votes « arrangés », le projet de fusion échoue.

Il faut l’arrivée à la présidence de Jean-Claude Olio pour éviter le pire. Malgré une relégation, en Promotion, en 1984, le « matricule 246 » est stabilisé. Restant deux saisons au 4ème niveau, il frôle la relégation en Provinciale puis, avec Guy Fromont comme entraîneur, remporte le titre en 1986 et retrouve ainsi en D3.

Le club se stabilise au 3ème niveau de la hiérarchie jusqu’au milieu des années 1990, manquant la montée dans l’antichambre de l’élite pour un point derrière le Stade Leuven en 1988. Quatre ans plus tard, le club fête ses 80 ans d’existence. Sous la direction de Mario Notaro, il occupe longtemps la tête de sa série. Mais chaloupant son deuxième tour, il se fait coiffer par le KV Oostende.

En 1995, il échoue lors du premier tour du tour final, qui en est à sa deuxième saison d’existence. Mais la saison suivante, le matricule 246 est sacré champion avec neuf points d’avance sur ses trois premiers poursuivants.

Le retour dans l’antichambre de l’élite en 1996-1997, soit après 18 ans d’absence, n’est pas évident. L’Olympic de Charleroi termine 16e sur 18 et est contraint de jouer les barrages (en fait le tour final de D3) pour tenter de se maintenir. Il échoue en s’inclinant (2-1) d’emblée au K. St-Niklase SK Excelsior. La victoire contre Hoogstraten VV lors du repêchage est inutile. Mais la montée en D2 a sérieusement grevé le budget du club. La spirale des soucis financiers commence ou plutôt s’aggrave. Le retour en D3 est pénible et le club frôle une deuxième descente de suite. En 1998, il évite les barrages en gagnant facilement (1 – 6) un test-match contre le K. FC Eeklo.

Le club se rassure en terminant en milieu de classement en 1999 puis décroche une place au tour final en 2000. L’Olympic élimine Hamme au premier tour mais est stoppé par Heusden-Zolder (créé la saison précédente par une triple fusion) lors de l’étape suivante. Après cette désillusion sportive, le club cherche son salut financier en fusionnant avec la Royale Association Marchiennoise des Sports.

La saison suivante, sportivement, la fusion semble être un échec. Le matricule 246 évite de peu les barrages. En 2002, le club termine milieu de classement puis se qualifie pour le tour final la saison suivante. Il est sorti au premier tour par le Sportveroedering Wevelgem-City.

Le ROCCM passe ensuite deux saisons dans le ventre mou de la Division 3. Puis l’espoir revient en 2005 avec le Président Aziz Alibhaï, un homme d’affaires au passeport français, né en Tanzanie, et installé en Côte d’Ivoire. Grâce au nouvel investisseur, le club voit arriver plusieurs joueurs ivoiriens issus d’une Académie d’Abidjan et décroche le tour final en 2006. Les « Dogues » éliminent Visé et Cappellen, mais trébuche sur la dernière marche, le Racing Waregem.

En 2007, l’Olympic est sacré champion sous la conduite de Danny Ost. La montée en Division 2 est fêtée avec faste.

Le début de la saison 2007-2008 est perturbée par le feuilleton « Namur-Geel ». Vice-champion derrière les Dogues le club des Merles de l’UR Namur n’acceptent pas leur défaite en finale du tour final contre Geel (très endetté) et qu’ils estiment injustement promu à la suite d’une licence accordée avec trop de largesse. Finalement, la Division 2 compte 19 équipes. Le ROCCM termine tranquillement à la 11ème place. Mais en 2009, les choses se gâtent. Le club ne peut éviter une des trois (!) places de barragiste prévues. Nous terminons pourtant 15ème sur 19 équipes, avec plus de quarante points. Mais, rien n’y fait, il faut jouer le tour final avec les candidats à la montée de D 3. S’il élimine Visé, le matricule 246 est battu par Woluwe-Zaventem et est relégué.

En 2010, bien que l’on parle plus de soucis financiers et de reprise du club (Monsieur Alibhaï souhaitant se retirer), le Royal Olympic Club Charleroi-Marchienne termine vice-champion derrière le RCS Visé dirigé par José Riga. Longtemps leaders, les Dogues craquent en fin de championnat. Le tour final apporte une nouvelle déception sportive. Vainqueur de Deinze, le club est surpris au tour suivant par Rupel Boom en s’inclinant à domicile (0-2) après un partage encourageant en terres anversoises (2-2).

Entre-temps, le club est alors repris par un groupe appelé « Diamond Sport » et représenté par un certain Peter Harrison. On pense le ROCCM tiré d’affaires financièrement mais quelques semaines après sa reprise, le club est déjà en quête d’argent frais, voir d’un autre repreneur. Un certain mystère plane longtemps sur cette société Diamond Sport, quasiment inconnue. En juin 2011, on apprend qu’elle est dirigée par un certain Lucas Neale, un juriste australien ayant joué au football dans son pays.

En attendant, la saison 2010-2011 fut de nouveau pénible pour les fans des « Dogues ». Après une bonne entame de championnat, l’équipe, dirigée par Alex Czerniatynski, sombre. Le club est miné par les problèmes d’argent et surtout le non-paiement des salaires. Lors du déplacement à l’Excelsior Virton, le « noyau A » refuse de jouer et c’est l’équipe « Espoirs » qui est alignée !

Peu après le terme de la saison, Peter Harrison et Diamond Sport promettent deux millions d’euro, garantissant que de nombreux joueurs de qualité veulent venir porte le maillot des Dogues. Les sympathisants et supporters ne demandent qu’à voir. Le club va-t-il sortir de ses incessants et récurrents soucis de trésorerie ?

La saison 2011-2012 commence péniblement pour un club que l’on sent de plus en plus en sursis. Sept défaites consécutives sanctionnent l’entame du championnat de Division 3. En date du 29 septembre 2011, l’Olympic est officiellement centenaire, mais ce jubilé passe quasi inaperçu. Lors de la huitième journée, les « Dogues » battent Verviers, mais le jeudi suivant, le 29 septembre 2011, la Fédération décrète une interdiction d’activités sportives car le matricule 246 n’a pas respecté les délais imposés pour le paiement d’arriérés de salaires à des joueurs et/ou anciens joueurs. Le 10 octobre 2011, comme tout le monde s’y attend, le Tribunal de Commerce de Charleroi prononce la faillite de la « Société Coopérative Olympic de Charleroi ».

2012 : Sauvetage de justesse

La radiation et disparition du matricule 246 semblent inéluctables. Quelques courageux sympathisants veulent encore y croire et tentent de sauver le glorieux matricule ‘246’, avant que l’échéance fédérale du 30 juin 2012 ne soit atteinte. Dès la faillite entérinée, un mouvement se met en branle. Timide au départ, les premières réunions des ‘Dogues de coeur’ voient grossir les rangs des bénévoles. Le 28 octobre 2011, une première action est lancée sous la forme d’une SOIREE DES DOGUES DE CŒUR. Une large place est laissée à l’évocation de l’Histoire du club centenaire, des nombreux invités sont prévus. C’est le premier rassemblement des forces vives ! Quatre-cent Dogues valeureux et les caméras de Télésambre sont présents à la Business Seats, tous avec le même message uni ‘non, l’Olympic de Charleroi ne peut, ne doit pas mourir’. Ce premier succès va être le déclencheur de la survie du club centenaire.

Les semaines passent et les plus fervents supporters ne désarment pas. En décembre 2011, deux activités sont organisées par l’ASBL « Dogue246 » puis peu après les fêtes de fin d’année, un programme des festivités du Centenaire est publié par cette même association. Soirée théâtrale, brocante, banquet de Gala, tournoi de jeunes, journée de fête des supporters et même tuning show composent un programme éclectique, visant à rassembler quelques actifs qui permettraient de sauver le matricule ‘246’.

L’avenir du club reste incertain mais en décembre 2011, deux pistes concrètes se sont manifestées. L’une est axée sur une formule commerciale, l’autre composée d’entrepreneurs locaux est plus humble et axée sur la formation des jeunes.

Finalement, alors que le printemps 2012 n’apporte rien de neuf, un plan de reprise se forme autour du précédent correspondant qualifié Charles Beugnies. Finalement, sous l’égide de Adem Sahin, une reprise du club est officielle in extremis le 25 juin 2012, avec le paiement des arriérés de joueurs, des dettes fédérales et le dépôt d’une caution sur les comptes de l’URBSFA.

Le lendemain, le 26 juin 2012, l’Assemblée générale de l’URBSFA ne prononce pas la radiation du matricule ‘246, mais au contraire, l’Olympic de Charleroi est sauvé et vivant. Une équipe doit être composée rapidement par le nouveau Président Adem Sahin et tel est le cas avec de jeunes joueurs prometteurs, provenant des séries provinciales de P 2 et de P 1. Fin de saison 2013-2014, l’Olympic termine dans le haut du classement de la difficile série de ‘Promotion A’ (flandre orientale et hainaut). Mais, intervient alors une dure sanction administrative prononcée par la Fédération, l’Olympic est dégradé administrativement par l’Union Belge en 1ère Provinciale du Hainaut et devra débuter le championnat concerné avec neuf points de pénalité !.

La saison 2014-2015, avec les mêmes bons joueurs conservés, se clôture par un splendide titre de CHAMPION de 1ère Provinciale. Les Dogues étaient bien simplement hors d’atteinte, hors compétition. C’est donc le retour en ‘Promotion’ pour les Dogues, malgré la pénalité de neuf points qui a été effacée dès l’entame du championnat par autant de victoires nécessaires !

La saison qui suit, 2015-2016, voit la même équipe impériale remporter le titre de CHAMPION de Promotion B, c’est la montée en D 2 Amateur, fêtée sur le terrain de la Neuville, deux journées avant la fin de la compétition. Deux montées consécutives, du jamais vu dans l’histoire du grand club historique.

La saison 2016-2017 voit les Dogues terminer sur le podium de la D 2 Amateurs, en obtenant la troisième place, derrière le FC Liège et un très constant Sporting de Châtelet-Farciennes, champion et promu en D 1 Amateur. Les Dogues ont toutefois largement mérité leur place au Tour final de D 1 Amateur, après avoir obtenu leur licence de D 1 Amateur, sous l’égide du C.Q. Charles Beugnies.

Les Dogues passent le premier tour lors d’un match onirique contre La Louvière qui se termine sur le score de 2 – 2 après les prolongations et finalement 6 – 5 aux tirs au but, après que notre gardien Tanguy Moriconi arrête le tir de son alter-ego Michaël Cordier et marque le pénalty de la délivrance dans le but défendu par le même Cordier.

Un incroyable match à suspens, qui restera dans les annales à tout jamais, qui permet aux Dogues d’aller défier le ténor FC Liège sur son terrain à Rocourt. Les Dogues sont éliminés à la 89 ème sur le score de 2 – 1, après une faute de main manifeste d’un attaquant liégeois, que chacun a vu, mais non sifflée. C’est l’élimination avec les honneurs.

Les Dogues joueront à nouveau la saison 2017-2018 en D 2 Amateurs dans une série très relevée face à de grosses équipes (FC Liège, RWDM – montant ayant réalisé un tout gros recrutement, Sprimont – descendant, La Louvière, Durbuy – montant très renforcé, etc.).

L’Olympic se met en ordre de marche et se restructure avec une nouvelle organisation et un nouvel organigramme visant à professionnaliser tous les organes du club. La saison 2017-2018 va pouvoir débuter avec une équipe renforcée.

L’objectif est la montée en D 1 Amateurs endéans les trois années à suivre.

2018-2019 : L’Olympic rate complètement sa saison et termine avant-dernier. Le club est retrogradé en D3ACFF. Le club de Châtelet-Farciennes (D1A) souhaite la fusion. Le dossier est validé fin juin 2019 lors de l’assemblée générale de l’Union belge de football.

2019-2020: L’Olympic de Charleroi devient l’Olympic Club Charleroi Farciennes (O.C.F.F.) et évolue en D1 Amateur. Patrick Remy est le nouveau Président.